
Les milliers de Polonais·es descendu·es dans les rues le 24 juillet ont gagné la première manche : du temps pour une procédure en bonne et due forme. En effet, le Premier ministre Mateusz Morawiecki a réaffirmé, le 30 juillet, le possible retrait de la Pologne du traité d’Istanbul, texte garde-fou contre les violences faites aux femmes. Mais c’est au tribunal constitutionnel que revient désormais le dossier. Les militantes et les organisations pour les droits des femmes ne comptent pas en rester là.
L’article de Chantal Baoutelman est à lire sur le site web de Causette, juste ici !