C’était il y a un an : des milliers de Libanais.es descendaient dans la rue pour hurler leur désespoir et leur colère face à une classe politique qui prend mais ne donne jamais rien.
Depuis, peu a changé, et rarement pour le mieux. La crise économique et financière s’est accentuée, poussant la moitié de la population sous le seuil de pauvreté. Les prix dans les supermarchés ont triplé, quintuplé parfois, à la suite de la dévaluation de la monnaie nationale face au dollar. Et le Covid a poussé les travailleurs journaliers dans une misère que l’on ne pensait pas possible.
La suite de l’article de Clothilde Bigot est à lire sur Urbania.fr