Soumission chimique : comment réagir ?
Si les violences sexuelles commencent à mieux être prises en compte, la soumission chimique reste, elle, peu connue. Elle est définie par l’ANSM par “l’administration à des fins criminelles (viols, actes pédo[criminels]) ou délictuelles (violences volontaires, vols) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace”. Une pratique difficile à mesurer et à dater.
Un article de notre pigiste Elie Hervé, à lire sur What's up doc.